Une récente étude IFOP pour Atlantic s’est penchée sur les différences entre les hommes et les femmes en matière de confort thermique.
Loin des stéréotypes, on leur a posé la question.
Alors, les hommes ont-ils toujours chaud et les femmes toujours froid ? Le confort thermique recouvre-t-il des réalités différentes en fonction des sexes ?
Près de 3 hommes sur 4 pensent que les plus importants critères du confort thermique sont :
Pour les femmes, la définition du confort thermique est encore plus radicale, et utilise le champ lexical du ressenti : 3 femmes sur 4 associent en effet la notion de confort thermique à celle de « chaleur douce ».
Homme ou femme, ils sont 73% à penser que la maîtrise des dépenses énergétiques est essentielle.
D’ailleurs, la température idéale en hiver est assez proche des recommandations de l’Ademe : 19,7 °C pour les femmes, comme pour les hommes.
Qui plus est, 2 français sur 3 répondent à l’enquête que la question de la température dans le logement n’est pas source de conflit au sein du ménage.
En effet, 26% des femmes trouvent qu’il fait trop froid chez elles, contre seulement 13% des hommes.
A l’inverse, les hommes sont plus nombreux que les femmes à dire qu’ils souffrent de la chaleur.
Enfin, contrairement aux idées reçues, 65% des jeunes de 18-34 ans disent être sensibles au froid !
Hommes et femmes, question de bon sens, commencent par adapter leur tenue vestimentaire en cas de sensation de froid.
En revanche, une fois le pull sur les épaules et les chaussettes aux pieds, les hommes optent pour une augmentation de la température des radiateurs quand les femmes choisissent d’abord… de boire une boisson chaude.